22 septembre 2012 : une journée pour l’éternité…
Après-midi ensoleillée, pool party de programmée. Avec des amis, nous rentabilisons nos entrées à un open-bar légèrement alcoolisé.
Au programme, bataille de sumo, cours de zumba, barbecue et DJ. L’aprem est bien lancée.
Verre à la main, près de la piscine, mon regard est attiré vers une nouvelle arrivée. Chevelure ondulée, les yeux pistaches, sourire désarmant, j’en ai le souffle coupé.
Abandonnant sans aucune gêne, la personne avec qui je discutais, je me rapproche et entame une discussion avec cet ange tombé du ciel.
Tout était parfait, jusqu’à son premier mot…
Malgré mon état éméché, je commençais au fil de notre échange à distinguer un accent loin d’être familier. Pris au piège par la belle qui l’était beaucoup moins que son accent, je décidais dans un mouvement de panique et de désespoir , de l’a jeter à l’eau pour voir si cela pouvait s’estomper.
Son mascara dégoulinait, son téléphone noyé, l’accent ne pouvait pas avoir résisté. C’était impossible, et pourtant si.
Uniquement par bienveillance et courtoisie, je proposais dès le lendemain matin à cette créature venue du froid de se revoir à nouveau.
Plus de six années plus tard, je l’a regarde encore comme au premier jour, belle comme c’est pas permis, elle a accepté de me dire oui…
Nicolas